dimanche 22 mai 2016

En route pour la frontière péruvienne...

Après cette semaine fantastique à San Pedro de Atacama, 
nous reprenons la route vers la frontière péruvienne.
Pour y arriver nous devons encore parcourir quelques centaines de kilomètres dans le désert!!! 
Finalement on s'y habitue, comme tout...



Une oasis en plein désert...



Curieuse capitale de la première région, Iquique avec 315 000 habitants, occupe une étroite langue de terre coincée entre le Pacifique, une haute falaise aride et une colossale dune de sable (haute de 200 m) qui semble prête à l'engloutir!!!
L'arrivée par la route, plongeant depuis les hauteurs, permet apprécier combien la ville est prisonnière de ce site original.

Enrichie par l'exportation du salpêtre, Iquique conserve de séduisants témoignages de son âge d'or: théâtre, casino et une rue piétonne où les maisons en bois colorées des années 1900 ont été restaurées.
Iquique est aujourd'hui l'un des ports les plus importants du pays, stimulé par sa zone franche (détaxée). 
Autour de la ville, on trouve de mystérieux géoglyphes et les villages fantômes du salpêtre...

Petite pause dans la ville d'Iquique


Spot dodo face à l'océan

Pétroglyphes sur la route




Sur la fameuse Ruta 5, Panaméricaine qui traverse les 2 continents...


Arica, capitale de la Quizième région, avec 190 000 habitants est une ville animée et plutôt agréable. Elle constitue une porte d'accès privilégiée au Pérou voisin et à la Bolivie. Son climat chaud et sec lui a valu le surnom de "citée du printemps éternel", ces plages sont baignées par des eaux un peu moins froides qu'ailleurs, très appréciées des surfeurs!

Arica ou "Arida"
Arica est en effet la ville la plus aride du monde. Entre 1903 et 1916, soit pendant 14 années d'affilé, il n'a pas plu une goutte d'eau. En moyenne il y tombe 2 à 3 mm d'eau par an...

Juste en dessous de l'alarme tsunami, en cas de pépin, on sera les premiers au courant...

Encore un coucher de soleil!!!
Bé en même temps, sur le Pacifique, le soleil se couche... C'est pas de notre faute!





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